Lexique retenu par la F.F.G

tableau noir

Voici quelques définitions retenues par la Fédération française de Géobiologie

MODULE 1

  • Détection sensible (radiesthésie ou perception biophysique) : Capacité de mettre en évidence, par des outils de détection ou des perceptions corporelles, des informations subtiles reçues par le corps ou des phénomènes vibratoires captés par le corps.
  • Convention : Code d’usage établi et défini avec un outil de détection (pendule/baguette parallèle…) qui permet d’interpréter les perceptions corporelles.
  • Champ énergétique, champ d’énergie vital ou Biochamp : Le champ énergétique est une couche vibratoire qui enveloppe le corps physique de tout être et de toute chose. Pour les êtres vivants, Il est une harmonique de l’aura, une couche plus dense. Sa dimension autour du corps oscille suivant notre état énergétique (extension en augmentation vibratoire = favorable, contraction en affaiblissement vibratoire = défavorable).
  • Taux vibratoire : Représente le niveau vibratoire d’un « objet ». Le taux vibratoire est établi suivant une échelle prédéfinie (échelle de Bovis ou échelle en %). Ces échelles sont non étalonnées scientifiquement, elles nécessitent un étalonnage guidé par le formateur. Le champ d’énergie vitale permet de définir ce qui est « favorable » ou « défavorable » : Favorable tout phénomène qui augmente le biochamp = augmentation du taux vibratoire // Défavorable > tout phénomène qui contracte le biochamp = diminue le taux vibratoire.

Lors de la découverte d’un lieu sacré

  • Vortex : Phénomène vibratoire particulier. Phénomène de haute vibration, composé de deux spirales unies par un « lien ». Ces phénomènes se retrouvent souvent dans les lieux ou constructions sacrées. Ce phénomène peut être « activé » (augmentation de son taux vibratoire) par un chant, une cérémonie, une demande particulière. Il est possible d’en trouver en dehors des sites sacrés. Un Vortex est habité par une « entité », une sorte de « conscience ».
  • Vouivre (ou courant tellurique) : Phénomène vibratoire particulier. Le courant tellurique est une sorte de « flux » énergétique qui provient de la terre. Ce flux est généralement présent dans le sous-sol géologique mais ressort par endroit pour se retrouver à l’air libre. C’est un flux qui produit une sensation agréable, douce et enveloppante. Il nourrit très souvent, en les traversant, les sites sacrés. Sa vibration rentre en résonance avec le plomb. Il est souvent apparenté et confondu, par sa forme, son allure, son comportement, à un passage d’eau souterraine. Il peut être symbolisé dans les édifices sacrés, par un serpent, un poisson, un dragon… Ce flux est connu pour développer le « 3ème œil » (intuition) et les capacités de perception.
  • Gardien des lieux : Fait référence à une entité (éthérique) en poste sur un lieu sacré. Cette entité est apparentée à un esprit de la nature (élémental) mais à qui, un « rôle » particulier a été attribué. Il est nécessaire, avant tout entrée géobiologique sur un lieu sacré, de se présenter à lui et de demander l’autorisation d’entrer et de travailler.
  • Phénomène vibratoire : Terme générique qui permet d’englober plusieurs phénomènes sans les définir vraiment. Ce terme induit que le phénomène ne peut pas être mis en évidence par des outils ou appareils de mesure objectifs.
  • Diagrammes ou abaques ou cadrans : Dessins géométriques sur la base d’un cercle ou d’un demi cercle, représentant des échelles permettant de réaliser des mesures radiesthésiques (avec pendule). Ils sont utiles pour les mesures géobiologiques mais aussi pour les recherches d’eau.

MODULE 2

  • Temps d’imprégnation : Temps nécessaire avant tout démarrage d’une étude. Il se construit en deux étapes : (1) se présenter au lieu, aux influences, aux élémentaux et demander l’autorisation de réaliser l’étude (2) faire le tour complet de la zone d’étude (maison ou terrain), en silence et concentré sur notre objet d’étude.
  • Source/veine d’eau souterraine : Circulation naturelle d’eau dans les couches géologiques. Quand cette circulation d’eau débouche à la surface, elle est nommée « source ».
  • Champ de perturbation (ou zone de perturbation) : Le champ de perturbation est l’ensemble des champs physiques perturbés par une présence (ex : la présence d’eau souterraine) : modification du champ magnétique terrestre, modification du rayonnement gamma, modification du rayonnement infrarouge, apparition d’un champ électrique, ionisation de l’air. Un champ de perturbation abaisse l’énergie vitale et contracte le biochamp.
  • Effet de faille : Représente un champ de perturbation produit par des diaclases (diaclases : cassure ou fissure sans mouvement géologique) ou des failles (faille : cassure avec mouvement géologique) dans le sol géologique. S’ajoute à ce champ de perturbation, l’augmentation de la présence du radon 222. Il y a souvent erreur avec le terme « faille » qui représente pour les géologues des cassures majeures produisant un mouvement géologique (cisaillement, compression, etc.). Concrètement, l’origine géologique du champ de perturbation n’est pas déterminé, on évoque alors plutôt un « effet » plutôt qu’un phénomène géologique déterminé qu’on ne peut connaître. Les failles géologiques majeures sont répertoriées par le BRGM et il est possible de les étudier sur les cartes géologiques. Le géobiologue tente de mettre en évidence « l’effet » produit par la faille et non directement la faille.
  • Nappe phréatique – Eau stagnante : Représente une couche géologique saturée d’eau. L’eau n’y circule pas, elle y est contenue par des sous-couches perméables.
  • Réseaux géobiologiques – Réseaux telluriques : Maillages énergétiques qui traversent la lithosphère. Leur existence n’a pas de reconnaissance scientifique. Les réseaux sont révélés par la détection sensible. Il semble que les réseaux ont un lien avec les métaux et métalloïdes contenues dans les couches géologiques formant la structure interne de la Terre. Plusieurs réseaux sont connus des géobiologues, d’autres moins. Les réseaux abondamment répandus dans la littérature géobiologique sont le réseau Hartmann (Nickel) et le réseau Curry (Fer). Chaque réseau a une dimension qui lui est propre. Les maillages ont deux orientations connues : cardinale ou diagonale. Les réseaux Hartmann et Curry présentent une certaine nocivité pour l’énergie vitale humaine. Tous les autres réseaux semblent favorables.
  • Nœud géopathogène : Représente une zone réduite, délimitée, défavorable au regard de l’énergie vitale. L’origine de cette énergie défavorable n’est pas spécifiée par ce terme.
  • Point étoile : Zone particulière, restreinte en surface, où se retrouvent à l’aplomb, à minima, deux croisements de deux réseaux géobiologiques (Hartmann et Curry). Un point étoile peut être composé de davantage de réseaux. Il peut être qualifié comme « nœud géopathogène ».
  • Point tellurique : Zone particulière, restreinte en surface, où se retrouvent à l’aplomb, à minima, deux croisements de deux réseaux géobiologiques hors Hartmann et Curry. Un point tellurique peut être composé de davantage de réseaux. Il n’est pas systématiquement « géopathoène » mais il transmet une énergie tellurique.
  • Cheminée Cosmotellurique (ou CCT) : Phénomène vibratoire particulier. Les CCT sont de grands tubes énergétiques avec une partie aérienne et une partie souterraine (près de 100 m de haut en aérien, autant dans le sol). Leur corps est complexe mais on les représente souvent comme un disque au sol, avec en leur centre un tube plus étroit (le Cœur) dans lequel circule une énergie. L’énergie y monte et y descend, à rythme régulier, comme une respiration. Les CCT peuvent être de haute vibration (dites positives) ou de basse vibration (dites négatives). Elles possèdent aussi (en forme 2D) des « bras » (comme une étoile de mer). Le nombre de bras peut varier, mais ils sont toujours défavorables. Certaines CCT n’ont pas de bras, elles sont alors toujours positives et sont nommées « points pulseurs ».
  • Point pulseur : CCT positive de haute vibration, sans bras.
  • Triangulation : Géométrie appliquée : technique de métrage qui permet de reporter à l’échelle sur plan, une détection effectuée grandeur nature.
  • Chaîne d’arpentage : Outil de mesure (20, 50 ou 100 m de long)
  • Jalon : Piquet normé qui permet de délimiter un terrain, une surface.

MODULE 3

  • Champs électromagnétiques : Représente l’espace dans lequel se déploie une onde électromagnétique. Est sous-entendu par ce terme, dans notre contexte, l’ensemble des champs électromagnétiques anthropiques (générés par la technologie humaine). Sous-entant également, les champs électromagnétiques non-ionisants.
  • Ionisant : Représente la capacité d’une onde à arracher, par l’énergie qu’elle développe, un électron à un atome. Modification atomique.
  • Électromagnétique : Représente la présence simultanée d’une onde électrique et d’une onde magnétique.
  • Norme : Texte définissant des valeurs de seuil issues d’une législation d’état. La norme fait loi.
  • Recommandation : Valeurs de seuil définissant des restrictions. Ces recommandations ont le plus souvent des valeurs de seuils inférieures aux normes. Ces valeurs sont issues d’associations ou d’organisations militant pour un abaissement du niveau d’exposition du public aux champs électromagnétiques non ionisant. Dans notre contexte nous évoquons des recommandations hautes (pièce de vie, d’activité) et des recommandations basses (pièce de repos). Les recommandations représentent notre base pour définir un habitat sain. D’autres recommandations peuvent être appliquées dans le domaine de la qualité de l’air, de la radioactivité, etc.
  • Mesure électromagnétique : Englobe la capacité à mesurer une exposition aux ondes électromagnétiques. Ce terme nécessite un appareillage professionnel (qualité professionnelle) étalonné. La « mesure » peut être engageante officiellement.
  • Évaluation électromagnétique : Nécessite un appareillage moins coûteux. Des appareils plus accessibles en prix permettent de faire une évaluation de l’exposition. Moins engageant officiellement.
  • Terre électrique : Représente la présence d’une « terre » dans le réseau électrique. Ce terme ne recouvre pas directement la résistivité du sol, mais bel est bien le réseau de mise à la terre, dans une installation électrique.
  • Tension induite : Représente la tension électrique présente à la surface de la peau en présence d’ondes électriques. Dans cette situation, notre corps fait antenne et attire à lui les particules chargées électriquement et qui tendent à rejoindre le potentiel le plus faible (la terre). Ces charges circulent alors à la surface de la peau et produise une « tension » induite.

MODULE 4

  • Détection à distance / Étude préalable / Téléradiesthésie : Technique qui permet de réaliser une étude géobiologique sur plan (plan de cadastre, plan de situation) grâce à la radiesthésie. Les études à distance permettent une première approche avant de réaliser une étude in situ, ou par exemple, d’envisager en amont le mode correctif. Elles permettent aussi de transmettre un premier avis sur un lieu. Les études à distance servent à relever les phénomènes présents, mais leur situation, leur localisation peut être aléatoire (suivant l’échelle du plan), elles sont généralement incomplètes et insuffisamment précises ; il convient de se rendre sur place pour valider l’étude à distance et/ou pour réaliser une étude complète.
  • Rapport cosmo-tellurique : Représente, au niveau du sol, le ratio entre la quantité d’énergie arrivant de l’espace (du cosmos) et l’énergie émanant de la terre (énergie tellurique). Le ratio idéal pour l’humain a été défini par les géobiologues, comme 80 % cosmique pour 20 % tellurique. Les terrains particulièrement fissurés ou traversés par de nombreux passages d’eau souterrains montrent un rapport cosmo-tellurique en faveur de l’énergie tellurique. La Lithosphère agît comme un filtre vis à vis de l’énergie tellurique (elle freine les rayonnements). Plus le terrain géologique est accidenté plus la force tellurique est importante.
  • Pierre levée ou géopuncture : Technique visant à corriger géobiologiquement plusieurs phénomènes. Elle consiste à poser une pierre (choisie) verticalement en un endroit spécifique. Les phénomènes sur lesquelles une pierre levée peut agir : augmentation du taux vibratoire du terrain (ou d’une maison), modification du rapport-cosmo-tellurique, correction d’un effet tellurique (effet de faille ou passage d’eau) et par ricochet, disparition (élévation) des présences.
  • Ré-équilibrage : Action qui consiste à modifier le rapport cosmo-tellurique d’un lieu (pour atteindre le rapport idéal : 80 % cosmique pour 20 % tellurique). Il se fait généralement par la pose d’une pierre levée ,mais il peut aussi être réalisé par la pose d’un cristal de roche ou par un dispositif informé.
  • Harmonisation : Terme qui défini une action de correction géobiologique globale : déplacement de CCT, élévation de présences, nettoyage des mémoires, des objets chargés, ré-équilibrage, etc.
  • Taux physique / Taux énergétique / Taux spirituel : Ces termes représentent des mesures segmentées du taux vibratoire global d’un lieu. Ils permettent, au début d’une étude géobiologique, d’avoir une idée des influences que l’on va rencontrer lors de l’étude.
  • Présence / Entité : Phénomène vibratoire, le plus souvent « défavorable » présentant un taux vibratoire extrêmement bas (proche 0). Phénomène attaché à un lieu, à une zone bien spécifique dans un logement ou sur un terrain. Définie comme une emprunte vibratoire d’une « conscience défunte ». Souvent d’origine humaine elle peut parfois être d’origine animale. L’origine ou l’histoire de la présence n’est pas essentielle pour le travail qu’on a réaliser. À l’aplomb d’une présence on peut ressentir comme un froid dans le corps, comme un « vide » sous nos pieds, comme une « absence » de vibration. Notre travail est de la « lever » par la lumière (nécessite de réaliser une « cérémonie ») ou d’élever le taux vibratoire du lieu suffisamment haut (par une pierre levée par exemple) pour qu’elle se « décroche » de son endroit. Lever les présences augmente le taux vibratoire du lieu.
  • Mémoire des murs : Phénomène vibratoire diffus. Différente de l’entité qui peut être ressentie précisément en un lieu (on peut en faire le contour), la mémoire des murs fait référence une histoire passée, à des émotions humaines fortes, vécues par des humains dans le lieu même à des époques anciennes, qui resteraient marquées dans la matière. L’utilisation de la « mémoire des murs » fait souvent écho à une mémoire négative (associée à une terreur, une tristesse forte, une colère, un massacre etc.) mais elle peut aussi qualifier une mémoire positive (comme dans un temple ou une église).
  • Objet chargé : Ce terme caractérise tout objet (meuble, cadre, arme, objet de décoration, miroir, instrument de musique, doudou d’enfant etc.) qui porte en lui une mémoire. Cette mémoire peut être de haute vibration mais dans notre travail nous sommes le plus souvent à la recherche d’objets chargés d’une mémoire de basse vibration, c’est à dire empreinte d’une vibratoire négative. Connaître l’origine de cette charge, de cette empreinte n’est pas nécessaire pour notre correction. L’objet chargé peut être détruit, brûlé ou nettoyé. Par une « prière » dédiée nous pouvons effacer cette charge vibratoire et faire recouvrer à l’objet, sa vibration originelle.
  • Rituel / Cérémonie : Acte solennel réalisé en conscience (pouvant être réalisé avec le client), composé de gestes dédiés et de paroles déterminées. Un rituel ou une cérémonie a pour objectif de marquer une intention. L’intention est souvent orientée vers la modification d’un état énergétique ou d’un phénomène vibratoire.

MODULE 5

  • Radon 222 : Gaz radioactif naturel émanant du sol géologique, produit par la désintégration de l’uranium 238.
  • Becquerel : Représente le nombre de désintégration atomique pour un volume ou un poids.
  • Radioactivité : Phénomène physique par lequel des noyaux atomiques instables se transforment spontanément en d’autres atomes (désintégration) en émettant simultanément des particules de matière ou des ondes électromagnétiques.
  • Remédiation : Ensemble de solutions techniques visant à abaisser la concentration en Radon222 dans un lieu.
  • Mesure ponctuelle : Mesure qui se fait à l’aide d’un appareil de mesure enregistreur de données. La mesure est réalisée in-situ pendant 90 heures, avec une mesure enregistrée par heure. Cette analyse rapide permet de mettre en évidence une concentration à un instant T. C’est une « photographie » qui délivre une indication sur le niveau de concentration potentiel.
  • Mesure intégrée : Cette mesure consiste, à l’aide de capteurs, à une accumulation de traces nucléaires (nombre de charges électrique), liées à la désintégration du radon et/ou de ses descendants, et à une analyse détaillée réalisée à l’issue de la période d’accumulation (lecture des données d’accumulation par un laboratoire). Un mois est le délais minimum nécessaire pour cette période d’accumulation.
  • Mesure sur terrain : Dans certaines zones à fort risque radon, il est conseillé de réaliser des mesures de radon 222 sur terrain, avant construction, afin d’évaluer l’exhalation potentielle et permettre ainsi d’envisager la construction en fonction des mesures obtenues. Cette mesure consiste en un prélèvement sous atmosphère confiné pendant une période de 4h30. Cette dernière mesure est effectuée selon la norme AFFNOR NF M60-771.

Source : FFG VF 2022

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